Blog Point conduite

comment choisir son auto-école ?

Comment choisir son auto école ?

En ligne, de manière traditionnelle, ou les deux… Il peut être difficile de déterminer la qualité d’une auto-école. Pour bien choisir le type d’auto-école qui répond à vos besoins, il existe certains critères pour vous accompagner et faciliter votre choix. 5 CRITÈRES POUR UNE BONNE SÉLECTION 1. Ancienneté de l’établissement Tout comme l’appartenance à un réseau, l’ancienneté et la durabilité d’un établissement est un gage de confiance et de sérieux. Une auto-école présente depuis de nombreuses années est une preuve de fiabilité sur le service apporté et sur son avenir. 2. Taux de réussite et nombre de place d’examen Critère clef dans le choix de l’auto-école, le taux de réussite est l’indicateur de comparaison le plus représentatif. Cette information est accessible à tous les candidats. Grâce au numéro d’agrément de votre auto-école, il vous est possible de connaître le taux de réussite du permis B, permis moto, code et du permis accompagnée via la préfecture du département. Au-delà du taux de réussite, le nombre de places d’examen disponible dans une auto-école est un élément essentiel. Il permet d’optimiser le délai entre vos heures de formation et votre présentation à l’examen. 3. Qualité de service Comme pour toute formation, la qualité du service est un point incontournable. Pour les auto-écoles, l’accueil, l’environnement, la manière dont les cours sont délivrés, les supports pédagogiques utilisés, le rythme d’apprentissage, le nombre d’heures disponible par semaine, le type et état des véhicules utilisés, l’expérience des moniteurs sont les éléments qui définissent la qualité des services proposés. À savoir que les types de financements permettent aussi de déterminer la qualité offerte. Les auto-écoles proposant « le permis à 1€ par jour » bénéficient d’un agrément selon des critères stricts et de la signature d’une charte de bonne conduite. Ce qui permet de garantir une qualité de service supplémentaire. 4. La proximité et les horaires La formation au permis de conduire fait appel à votre motivation, implication et assiduité. Une formation régulière et un entrainement quotidien sont favorables à votre progression. De ce fait, la proximité de la structure et des créneaux flexibles adaptés à votre planning sont décisifs dans la réussite de votre examen. C’est pourquoi, dans certaines auto-écoles, on vous offre la possibilité d’effectuer les entrainements du Code en ligne, votre compte rendu et suivi de formation en version digital ou même de réserver vos heures de conduite directement en ligne. 5. Le prix Attractif ou dissuasif au premier coup d’œil, le prix est généralement l’élément décisif dans le choix de votre auto-école. Bien qu’il faille compter en moyenne entre 30 à 40 heures de conduite pour l’obtention du permis de conduire, il est indispensable de se renseigner sur le détail du tarif annoncé, le tarif des heures de conduite au-delà du forfait de base, la durée de formation, le nombre de présentation compris dans le pack afin de choisir l’établissement avec la formation qui correspond à vos attentes.

Comment choisir son auto école ? Lire la suite »

Les mémos utiles pour obtenir son permis

Les mémos utiles pour obtenir son permis

880 280 permis B ont été délivrés en 2017. Avec un taux national de réussite de 57 % à l’examen du permis de conduire, il est indispensable de bien se préparer car les échecs sont nombreux.  Vous vous sentez prêt à passer votre permis ! Voici quelques mémos utiles pour mettre toutes les chances de votre côté. Si vous avez l’habitude de conduire sur un modèle de véhicule en particulier et que vous savez que le jour de l’examen vous aurez un modèle différent, entraînez-vous sur ce dernier afin d’en connaître les commandes principales. En effet 3 pointssont prévus sur la partie « connaître et utiliser les commandes ». Ce n’est pas le jour J qu’il faudra se demander comment faire le réglage des feux ou encore comment mettre les essuie-glaces avant du véhicule sur la position la plus rapide ? Pendant toute l’épreuve, restez attentif à l’environnement dans lequel vous évoluez : un vélo pourrait vous surprendre ou un enfant pourrait courir sur un passage piéton. Ne soyez pas obnubilé par le véhicule ou le passage des vitesses mais restez vigilant pour éviter tous les dangers.  N’oubliez pas qu’il existe un angle mort. Regarder dans les rétroviseurs est indispensable. Le petit coup d’œil pour s’assurer qu’il n’y a personne dans l’angle mort l’est tout autant. Ne franchissez jamais de ligne continue Une ligne droite ne dispense pas de regarder dans les rétroviseurs et d’actionner le clignotant si vous tournez ou dépassez. Bien sûr, il faut regarder dans le rétroviseur AVANT de mettre le clignotant.   En cas de marche arrière, un radar ou une caméra de recul ne dispensent pas non plus de l’utilisation des rétroviseurs. Pendant l’examen, vous respectez les vitesses autorisées qui s’appliquent pour les apprentis conducteurs : 80 km/h au lieu de 90 km/h sur les routes hors agglomération à double sens sans terre-plein central 100 km/h au lieu de 110 km/h sur les routes hors agglomérations à double sens avec terre-plein central, et sur les voies d’autoroutes limitées à 110 km/h 110 km/h au lieu de 130 km/h sur les voies d’autoroutes limitées à 130 km/h si les conditions de météo sont bonnes. Les autres indications de vitesses maximales autorisées sont à respecter : 10 km/h, 30 km/h, 50 km/h DANS UN TUNNEL Pour traverser sereinement les tunnels routiers, il est nécessaire d’adapter sa conduite. En cas de panne ou d’incendie dans un tunnel routier, il existe quelques bons réflexes à connaître pour éviter les risques d’accidents. Avant de vous engager dans un tunnel, soyez attentif aux panneaux d’information dans les kilomètres qui précèdent, ainsi qu’à la signalisation à l’entrée du tunnel. En entrant dans le tunnel :  Allumez vos feux de croisement, et aussi l’autoradio pour être rapidement informé en cas d’incident Adaptez votre conduite en respectant la limitation de vitesse ainsi que les distances de sécurité qui peuvent être particulières. Dans le tunnel, les lumières bleues sur les murs de chaque côté aident à maintenir la distance de sécurité avec le véhicule qui précède Dans le tunnel, il est interdit de : Faire demi-tour  S’arrêter Stationner en dehors des emplacements d’arrêt d’urgence prévus à cet effet En roulant, repérez les niches de sécurité signalées en orange, où se trouvent un extincteur et une borne d’appel d’urgence. Repérez aussi les issues de secours signalées en vert ; des flèches indiquent l’issue la plus proche, qui peut être une des têtes du tunnel. En cas de panne dans un tunnel  Avant de vous engager dans un tunnel, assurez-vous qu’aucun témoin d’alarme du tableau de bord du véhicule n’est allumé et que la quantité de carburant est suffisante, en particulier dans les longs tunnels. Si malgré tout, une panne survient dans un tunnel : Allumez vos feux de détresse  Arrêtez-vous le plus à droite possible  Coupez le contact Enfilez votre gilet jaune et sortez prudemment du véhicule Si votre véhicule empiète sur la chaussée, posez votre triangle de signalisation (sur autoroute les règles peuvent être différentes) Marchez, en restant bien sur le trottoir, jusqu’à la niche de sécurité la plus proche pour utiliser la borne d’appel d’urgence ; il y en a tous les 200 mètres. Suivez les consignes de l’opérateur et attendez l’arrivée des services compétents pour vous dépanner. En cas d’incendie dans un tunnel  Même si c’est rare, il peut arriver que de la fumée se dégage de votre véhicule. En tunnel, plus encore qu’à l’air libre, il faut réagir vite :  Si la sortie du tunnel est proche, essayez de continuer à rouler Si la sortie est éloignée ou que le feu se propage, garez-vous le plus à droite possible et allumez vos feux de détresse. Coupez ensuite le contact, enfilez votre gilet jaune, faites sortir tous les passagers Si un extincteur est accessible, vous pouvez essayer de l’utiliser Si l’incendie a lieu sur un véhicule devant vous, sortez aussi de votre véhicule Dans certains tunnels, une alerte sonore (sirène, message sur l’autoradio) vous prévient également du danger Dans tous les cas, ne retournez pas vers votre véhicule. Il faut évacuer le tunnel sans tarder en suivant les flèches vertes qui indiquent la sortie la plus proche. Cela peut être l’entrée ou la sortie du tunnel, ou une issue de secours signalée en vert. Une fois en sécurité, contactez l’opérateur en utilisant la borne d’appel d’urgence et suivez les consignes. Les flèches vertes vous mèneront jusqu’au point de rassemblement pour y attendre l’arrivée des secours. BON RAPPORT DE VITESSE En principe la première vitesse sert uniquement à démarrer pour enclencher rapidement la deuxième vitesse, mais il arrive que l’on se serve de la première vitesse pour rouler. Veillez donc à rétrograder en première dite « roulante » ou « synchro » lorsque : Vous vous préparez à entrer dans un parking Vous circulez dans un parking Vous allez vous engager dans une voie étroite ou présente un manque de visibilité Utilisez la pédale de frein et rétrogradez pour décélérer afin d’adopter une conduite souple et économique. Vous pouvez gagner 1 point en adoptant une conduite économique et respectueuse de l’environnement. Entrée et sortie d’autoroute

Les mémos utiles pour obtenir son permis Lire la suite »

Examen du permis, comment gérer son stress ?

Examen de conduite : comment gérer son stress ?

Passer son permis, comme tout autre examen peut être source d’angoisse voire même de stress. Voici quelques conseils pour être zen le jour J. « L’avantage » d’une situation d’anxiété, comme celle de l’examen du permis de conduire, est qu’elle est maîtrisable car identifiable. En effet vous connaissez depuis plusieurs jours la date et l’heure de l’épreuve, ainsi que l’exercice qui vous attend. À l’inverse d’une situation causée par un accident, vous allez pouvoir maîtriser vos émotions et faire en sorte que pendant l’examen tous vos sens soient mobilisés pour réussir.  Au quotidien, nous avons besoin d’une bonne dose de confiance en nous pour réussir notre journée. Or le manque de confiance est très pénalisant car il provoque des émotions négatives. Certaines personnes, qui ont une mauvaise image d’elle-même peuvent souffrir de la moindre remarque qui leur est adressée. Elles sont alors dans une situation de stress, souvent synonyme d’échec. Développer la confiance en soi ne s’acquiert pas en quelques minutes, c’est un long travail à faire sur soi-même, mais il existe des « trucs » pour être dans un état relaxé. Le jour du permis, si vous arrivez à canaliser vos émotions, vous êtes alors dans un état de stress positif, qui fait que vous allez vous surpasser et réussir ce que vous entreprenez. Mais comment faire pour que ce stress soit positif et non source d’échec ? RESTER CALME Si le manque de contrôle émotionnel vous limite dans vos activités, alors imaginez une personne dans la même situation que vous. Quelles sont les paroles que vous lui adressez pour calmer son émotion ?  Il faut vous préparer mentalement à vivre l’état de stress causé par le passage du permis afin de mieux le combattre. Pour cela, visualisez-vous au volant de la voiture, assis (e) à côté de l’inspecteur. Vous vous voyez détendu (e) et souriant (e). Essayez d’enregistrer les émotions que vous vivez à ce moment précis… Lorsque vous serez réellement en train de passer l’examen de conduite, vous allez dompter votre stress en vous connectant à la situation de détente que vous avez déjà vécue mentalement.  Il est conseillé de s’entraîner à maîtriser ses émotions. Commencez par des situations de la vie de tous les jours. Par exemple vous allez prendre la parole en public devant vos camarades de promo ? Imaginez- vous en train de leur parler. Vous êtes à l’aise, vous maîtrisez votre sujet parce que vous l’avez bien travaillé. Vous verrez que le jour de l’exposé, en vous reconnectant aux émotions positives vécues mentalement, vous serez en confiance. Idem pour le permis, il faut se présenter à l’épreuve uniquement lorsque toutes les notions de conduite sont acquises et que votre moniteur estime que vous êtes prêt. Sinon ce n’est pas la peine de vous présenter… La gestion du stress ET le travail restent les clés du succès ! Pour être zen, travaillez la respiration Baisser les épaules, tenez-vous bien droit, inspirez et soufflez lentement. Si possible, adoptez la respiration abdominale pendant quelques minutes, cela permet de mieux oxygéner le cerveau, de se relaxer et de diminuer l’anxiété. Vous inspirez par le nez et soufflez par la bouche en expirant tout l’air de vos poumons … à faire plusieurs fois de suite. Si cet exercice vous semble difficile à maîtriser, mettez une main sur votre ventre, celui-ci se gonfle pendant l’inspiration, votre main se soulève et il se baisse pendant l’expiration.  La semaine qui précède l’examen du permis Prenez quelques heures de conduite. Si vous laissez s’installer une longue période sans rouler, vous risquez de perdre les bons réflexes. Plus le candidat aura d’heures de pratique, plus il sera à l’aise et par conséquent il sera confiant. D’où l’importance de rouler la semaine avant l’examen. En revanche, vous éviterez de prendre une leçon le jour J car si vous calez ou faites une erreur, vous risquez d’être mentalement plus fragile. Ne publiez pas votre convocation sur Facebook, tous vos amis vont s’en mêler, ils vont vous raconter leurs bonnes et leurs mauvaises expériences, ils vont vous mettre la pression ! Alors inutile de leur en parler, vous leur annoncerez la bonne nouvelle lorsque vous aurez obtenu votre permis. Les bonnes pratiques : Une fois votre convocation en poche, allez repérer le lieu de rendez-vous, faites le tour quartier pour voir les axes principaux et les directions, les sens uniques… Cela vous mettra en confiance La veille, prendre un dîner équilibré en évitant de terminer par un dessert très sucré. Pas d’alcool (c’est évident !) mais pas de café non plus. Le café stimule le système nerveux, il accélère le rythme cardiaque et par conséquence le stress. La caféine se trouve également dans les boissons énergisantes. Se coucher tôt et passer une bonne nuit de sommeil. Ne pas prendre de médicament de type calmant qui sont de toute façon déconseillés (et même interdits pour certains) au volant. Le jour de l’examen, donnez la meilleure impression à l’inspecteur en vous installant tranquillement au volant, en lui disant bonjour avec le sourire. Inutile de de la jouer « trop cool » mais donner l’apparence d’être une personne calme et sûre d’elle est un point positif. Idem pour les premières questions qui concernent le véhicule, répondez calmement, cela montre que vous maîtrisez votre sujet. L’inspecteur, quels que soient son caractère et son humeur, n’est pas là pour vous déstabiliser ou vous coincer. Il va chercher à évaluer de façon la plus juste possible votre autonomie au volant afin de déterminer si vous êtes apte à conduire seul et à maîtriser toute situation dangereuse. Les priorités restent bien sûr, la sécurité, le respect du code de la route et la mise en application de tout ce que vous avez appris avec votre moniteur lors des leçons. BON À SAVOIR Il ne faut pas oublier que le stress peut être positif. Or, nous en avons trop souvent une image négative. Le stress positif est celui qui est sain, qui augmente nos capacités. C’est celui que l’on ressent quand nous nous sentons plein d’énergie pour entreprendre quelque chose d’inhabituel et qui donne envie

Examen de conduite : comment gérer son stress ? Lire la suite »